L’aube commence à poindre. le père du jour s’apprête à caresser de ses divins rayons ma chevelure rougeoyante. a l’autre bout de l’horizon, d’autres se hâtent. là-bas, il est au zénith. il poursuit sa course folle tout le jour. rythme nos journées, de l’aube au coucher. le fils aîné de la nature renaît chaque matin, toujours
Esmerine
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La palette scurissimi de neve cosmetics pour un regard énigmatique !
Et oui, encore une ! quoiqu’on ne puisse pas dire que sur ce blog, je vous présente des produits tous les jours ou même toutes les semaines… je ne vais pas y revenir car vous le savez déjà, j’achète principalement mes produits de maquillage sur makeup minéral, l’unique boutique en ligne française ayant l'exclusivité des produits de
Ne vous y trompez pas ! la blondeur de ses cheveux est naturelle. le regard au-dessus de son épaule, elle nous lance un « mesdames, bonjour », affirmé. dressée sur ses talons, elle ondule, le pas sûr. elle n’avait jamais franchi la porte. l’inconnue flâne. s’arrête, puis repart. hume parfois, glisse le long des rayons le plus souvent.
Il s’éveille au printemps. dans ses nuances les plus douces, celles des toutes premières feuilles qui apparaissent. il m’enchante le soir venu, lorsque je traverse la campagne sous un ciel gris menaçant, et que la cime des arbres parait atteindre les nuées. alors qu'une multitude de gouttes s’abat contre le pare-brise, les rayons du solei
Concentrée, elle apporte la dernière touche finale. l’instrument à son imagination fertile lui permet de multiples possibilités.il est 16h30 dans l’atelier artistique. dans quelques minutes, la sonnerie va retentir. la parenthèse imaginative s’achèvera, et la jeune fille attentive reprendra le cours de ses activités quotidiennes. a moi
Le thème du défi de ce lundi est le bonheur. un bien grand mot. qu’est-ce que le bonheur ? où le trouver ? comment le préserver ? est-il possible d’être vraiment heureux ? qu’est-ce qui vous rend ou vous rendrait heureux (réellement) ?je n’ai pas la réponse. j’aurai pu choisir de vous répondre à ma manière. vous dire que le bonh
« you want to make her suicide blonde, love devastation, suicide blonde… » scande michael hutchence dans sa chanson du même nom, parfaitement retransmis par le biais de ce petit appareil portatif qui me sert d’enceinte bluetooth. toujours vêtue de noir, mais cette fois, tachetée de blanc, j’exerce les mouvements de va-et-vient dans le se
L’aube se lève. un voile perlée recouvre la terre encore fraîche. le chant des oiseaux s’élève du fond du jardin. la vie s’active ici et là. gants, bottes ou sabots à l’envie, trépignent déjà dans leur coin. le jardinier en herbe est presque prêt. il scrute le ciel, observe la course des nuages, hume l’air. il guette le bon mom
Ça s’agite, ça s’active, ça creuse. un son grave et continu me parvient. maître bourdon s’éveille !le jardin reprend vie peu à peu. on nettoie, on taille, on bêche, on plante. a l’instar d’un maître d’orchestre, le jardinier imagine sa future symphonie. discrète, silencieuse mais toujours éclatante. plus tard, maître bourdon
Les premiers rayons du soleil caressent l’horizon. perchée sur le mat d’où elle domine ses semblables, une silhouette se détache sur l’étendue océane dans le matin tranquille. à la fraîcheur du sable, le promeneur matinal préférera longer paisiblement la digue. le clapot joue des percussions contre la coque des bateaux encore arrimé